5 conseils pour hiberner sans s'empâter





Ça y est, le peu de feuilles dorées qui restaient courageusement accrochées à leur branche ont chu misérablement sur le trottoir, sonnant le glas de l’automne et ouvrant le bal de l’hiver.

Hiver, ce long tunnel sombre durant lequel le commun des mortels (moi), ne voient la lumière du jour qu’au travers des fenêtres de leur bureau (le soleil partageant, de facto, mes horaires de travail puisqu’il pointe à 9h et à 18h).

Hiver, saison où le mercure flirte avec le zéro,  engourdissant sournoisement nos petits membres et phagocytant le peu de motivation qu’il nous restait pour faire quoi que ce soit d’autre que se mettre au chaud sous un plaid, au fond de notre canapé. Avec un chocolat chaud. Et des gâteaux.

Notre poids, on s'en balance?




A aiguilles, digitale, parlante, analysant la masse grasse, comparant les dernières mesures ou affichant simplement notre poids, la balance se décline en d’innombrables versions et rares sont les personnes qui n’en ont pas une dans leur salle de bain.

On entretient souvent une relation mouvementée et ambivalente avec elle : lorsque tout va bien, elle est notre premier geste du matin, et la lecture de son résultat nous met en joie pour la journée.
Jusqu'à ce que rien n’aille plus, qu’elle nous ait offensée et que nous décidions de couper les ponts en attendant qu’elle soit plus clémente , la laissant alors prendre la poussière et l’ignorant superbement (mais non sans entretenir une culpabilité dévorante).

Coup de gueule


Est-ce moi qui sature, ou est-ce que ce genre d’articles se fait de plus en plus présent sur la toile?
Dur à dire, mais les voir défiler aux grès de mes navigations quotidiennes m'est de plus en plus pénible. (Je précise que j'ai trouvé tous les articles sous-cités sur des sites féminins respectables)

Le potimarron a tout bon !



C’est un cousin de la citrouille, hybride entre le potiron et la châtaigne, dont il a la forme et un léger goût de noisette. Plus goutteux et sucré que le potiron, sa chair est aussi plus dense, presque farineuse.
Il se cuisine facilement et se prête à plusieurs recettes automnales. Je l’adore (c’est un peu mon soleil de l’automne quand ce dernier nous fait défaut) et le consomme toute la saison jusqu’à n’en plus pouvoir  (j’ai une tendance un peu monomaniaque en cuisine).